L’Embrunais
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Baratier
A 4 km d'Embrun et à proximité des stations de sports d'hiver des Orres et de Crévoux, Baratier a su conserver son visage d'antan. La chaleur et la convivialité de ses habitants offertes aux visiteurs illustrent la devise de Baratier "pauvres mais fiers et bon coeur".
Baratier s'étage de 780 à 2898 m d’altitude (sommet du Pouzenc). Le vieux village est situé à 870 m, le long du torrent de Vachères.Des lotissements ont vu le jour depuis une vingtaine d’années, à l’ouest du village. Ses habitants sont appelés les Baratons et les Baratonnes.
Un peu d'histoire
L'ère de la féodalité est sans doute la page qui a fondé notre histoire contemporaine. A cette époque, il existait deux fiefs : Baratier et Verdun. Administrativement et judiciairement, Baratier dépendait d'Embrun. C'est la famille Bayle de Baratier qui a donné son nom au village qu'elle avait en fief. Ses armoiries « d'argent au lévrier de sable accolé de gueules » sont maintenant celles de la commune.
Une autre famille seigneuriale possédait le fief de Verdun. Le site est un peu à l'écart du village qu'il domine, le quartier s'appelle encore « Verdun » ; de la maison subsiste une tour carrée qui parait remonter aux XIIe et XIIIe siècles, elle est englobée dans des constructions « modernes ». La propriété est privée et ne se visite pas.
Les « Baratier » primitifs reposent dans l'église du village, dans la chapelle dédiée à Saint Joseph. Faisant référence à l'état ecclésiastique, la paroisse de Baratier était et reste de nos jours sous le vocable de Saint Chaffrey.
La découverte d'une lame de poignard sur les pentes du Pouzenc confirme l'occupation par l'homme de la terre Baratonne dès la fin de l'âge de bronze. Ce vestige est exposé au musée départemental de GAP.
De récentes fouilles très intéressantes ont eu lieu au Clapier des Monges dans le quartier de la Mure. Des étudiants de Boston sont venus à Baratier cet été pour approfondir ces recherches. Un curieux dispositif a été découvert, il pourrait s'agir d'un système antique de chauffage au sol fait de briques réfractaires.
(source : http://www.baratier.net/)
Crévoux
Niché au cœur du massif du Parpaillon, à 1600 m d’altitude, Crévoux, un des plus anciens sites de glisse des Hautes-Alpes, a su conserver l’authenticité d’un village montagnard. Ces richesses constituent la mémoire vivante de ce village, composé de quatre hameaux : Champrond, Praveyral, La Chalp et Crévoux.
Cette station village bénéficie d’un cadre naturel incomparable ou traditions et savoir-faire sont encore vivants. Au détour des ruelles et des chemins, on sent cette âme qui anime le village et les rencontres avec les villageois ne manquent pas d’intérêt. Crévoux a su préserver et valoriser son patrimoine naturel et culturel.
Au coeur du massif du Parpaillon, Crévoux est un village station de montagne dont le domaine s'échelonne de 1550 m à 2400 m d'altitude.
Le domaine possède un caractère à visage humain. Sa dernière remontée mécanique vous emporte jusqu'à 2400 m et propose une descente à travers les mélèzes.
Station familiale, le départ des pistes reste propice à l'apprentissage des petits comme des grands. Crévoux propose tous les autres plaisirs de la glisse en ski alpin et snow board avec son domaine aménagé : 5 téléskis et 17 km de pistes balisées et de toutes difficultés de 1550 m à 2400 m.
On ne choisit pas Crévoux comme station de sports d'hiver par hasard. On y vient pour sa dimension humaine et on y revient pour découvrir d'autres plaisirs de glisse. Loin des files d'attente aux remontées mécaniques, la station satisfera les familles qui viennent avant tout "prendre des vacances". Loin du stress, l'amateur de poudreuse trouvera des parcours improvisés entre les mélèzes et prendra un plaisir inégalé à dévaler les 800 m de dénivelé. Le débutant trouvera le départ de la station à son niveau pour bien apprendre à démarrer sur des planches. Très vite, il pourra accéder au sommet du domaine pour prendre une piste bleue de 8 km.
Activités et sites à visiter...
- L'église du XVe siècle avec clocher à bulbe et cadran solaire, hameaux, cadre naturel incomparable… et le domaine skiable de 1 550 m à 2 400 m !
- Le parcours des fées, où sont exposées des oeuvres contemporaines le long d'un sentier accessible à tous, donnant accès à la cascade des Razis.
- Les balades sur les nombreux sentiers de randonnée pour tout niveau.
- Indispensable : une visite au musée rural "Le temps retrouvé". Aménagé sous les voûtes d'une ancienne étable, il nous projette dans l'histoire de la vie à la montagne et nous invite à la découverte des métiers d'antan, immortalisés par de vieux outils…
(source : http://www.crevoux.eu/)
Crots
Crots est une commune qui possède un patrimoine géologique, naturel et bâti très riche. Pour la géologie, comment ne pas parler du célèbre torrent de Boscodon aux crues redoutables se manifestant par des coulées de laves torrentielles. Véritable référence européenne, ce torrent dessine, à partir de son petit bassin versant du Bragousse ou de l'Infernet, l'un des plus gros cônes déjection d'Europe !
Quelques mots d'histoire...
De par sa localisation, Crots, anciennement appelé « les Crottes », (les "caves" en provençal) a été un lieu de passage très fréquenté. Le village primitif se situait le long de la forêt, à Saint-Jean, et ce jusqu’au Moyen Age. Ce n’est qu’au XIIIe siècle que Les Crottes apparaissent et, au fil du temps, un patrimoine se forge. C’est d’abord la prestigieuse Abbaye de Boscodon au XIIe siècle, puis le château de Picomtal XIIIe siècle et au XIVe siècle, une église romane dédiée à Saint-Laurent. Crots est l’une des rares communes qui possède deux églises et deux cimetières. Cela s’explique par le fait que dans le passé, Saint-Jean et les Crottes étaient deux communautés administratives indépendantes. Ce n’est qu’en 1970 qu’elles fusionnèrent,, en donnant naissance à la dénomination actuelle du village.
Nature et culture...
Au niveau naturel, attardons nous dans la forêt de Boscodon, site naturel classé avec son site de la Fontaine de l’Ours et son belvédère de Bragousse. C’est une des plus belles sapinières de France. Une absence totale de pollution a été observée dans cette forêt, ce qui lui permet de s’enrichir constamment et d’affirmer que l’on y respire l’air le plus pur de France. On y trouve plus de 134 espèces végétales différentes dont certaines sont protégées. Et n’oublions pas le magnifique cirque du Morgon (2 326 m). Quant au patrimoine bâti, il n’a rien à envier au patrimoine naturel…l’Abbaye de Boscodon est classée monument historique, le château de Picomtal et l’église de Saint-Laurent sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
La vie à Crots
Malgré sa proximité avec Embrun (moins de 5 km), Crots demeure une commune rurale. Elle jouit sur 6.8 kilomètres de sa position riveraine avec le lac de Serre-Ponçon, Elle est divisée en 28 hameaux qui s’étirent depuis Crots en quatre axes principaux. Sa population est en augmentation. Au village sont installés une boulangerie, une épicerie, un restaurant-pizzeria, un bar, un garage, un atelier de charcuterie-salaisons et le service de la Poste est toujours présent. Un hôtel restaurant 3 étoiles vous accueillera près de la route nationale menant à Embrun. Au hameau des Moulins est installé une zone artisanale où les métiers du bâtiment sont bien représentés. Un camping municipal, un camping privé, des commerces sont installés au bord du lac l’été et une plage surveillée permet aux vacanciers de se baigner en toute sécurité. Dans les hameaux, d’autres campings existent également. En montagne, de nombreux aménagements en forêt (routes forestières, sentiers, aires de pique nique) permettent de goûter le calme et le charme des hautes futaies (mélèzes ou sapins). Il reste environ une quinzaine d’agriculteurs à Crots, qui pratiquent l’élevage bovin et ovin. Chaque été, les troupeaux viennent pâturer dans les alpages de Crots. L’affouage est consenti aux résidents permanents, et un tirage au sort a lieu au début de l’été afin d’attribuer les lots.
L’artisanat d’art est représenté par deux potiers, une artiste sculpteur et une créatrice d’art textile. En majorité la population travaille à Embrun, mais nombreux sont les pluri-actifs qui travaillent l’hiver aux Orres et l’été sur le lac.
(source : http://crots.pays-sud.fr/)
Embrun
En plus du charme de sa vieille ville, la “Nice des Alpes” offre un patrimoine exceptionnel : le monument le plus important des Alpes françaises avec la Cathédrale Notre-Dame-du-Réal (XIIe et XIIIe), la Maison des Chanonges, édifice roman du XIIIe, la Tour Brune (XIIIe), ancien donjon des archevêques…
Une ville riche d'une histoire importante...
Ancienne capitale des Alpes Cautiennes, Embrun vient de Ebr : l’eau et de Dunum : l’élévation. En effet, sa position stratégique au dessus des falaises du Roc lui permet de surveiller le cours de la Durance. L’histoire de la ville d’Embrun, longue et tumultueuse a marqué l’architecture de la cité qui regorge d’indices et de détails, comme un rappel à l’importance passée de la ville.
A l’origine, ce furent les premiers empereurs romains qui lui donnèrent le statut de ville alliée. Evêché à partir du IVe siècle, elle devient au Moyen-Âge, une métropole ecclésiastique renommée. Son archevêché, extrêmement vaste et puissant, diffusa son influence jusque dans la Vallée de l’Ubaye et Barcelonnette qui conservera longtemps des liens privilégiés avec la ville d’Embrun. Métropole spirituelle, Embrun fut également une cité fortifiée par le célèbre architecte militaire et stratège Vauban, qui renforça au XVIIe siècle, sa protection naturelle de ville-forteresse perchée sur son roc. Les vestiges de l'ancienne place forte militaire que fut Embrun, se dessinent en certains endroits où l’on distingue encore les murailles et créneaux qui cernaient la ville.
C'est au cœur de la vieille ville que se raconte l’histoire d’Embrun, entre le dédale des ruelles, les portes anciennes, les fontaines de marbre roses et les détails ornant nombre des façades dans la ville. A quelques rues près se côtoient les formes gothiques de la cathédrale de Notre Dame du Réal, l’austérité médiévale de la Tour Brune, muée en Maison du Parc National des Ecrins et la Maison des Chanonges, bel édifice roman aux sculptures surprenantes.
La ville connaît un nouvel essor grâce au chantier colossal du barrage de Serre-Ponçon à la fin des années 1950 et à la création du lac. Dès l'amorce du chantier, Embrun et les communes environnantes trouvent matière à redynamiser leur économie, en entamant une mutation vers le tourisme et l’accueil de nouvelles populations. De quoi participer au renouveau d'une cité qui s'était littéralement vidée de sa population après les deux guerres mondiales.
La vie à Embrun aujourd'hui
Embrun est la commune la plus peuplée de l’Embrunais. Avec 6 700 habitants, c’est elle qui offre la majorité des commerces et services du canton. Surnommée "a petite Nice des Alpes" pour la qualité de son climat avec une durée d’ensoleillement record, Embrun offre le visage d’une ville souriante et colorée, réputée pour son art de vivre et le charme de son centre ancien.
La municipalité d’Embrun a travaillé à l’édification de cette image en axant son action sur plusieurs priorités : tout d’abord le logement pour tous. De nombreux chantiers de logements sociaux devraient aboutir prochainement. Même si pour l’instant, les résultats sont peu visibles, avec une population qui stagne de 1999 à 2005, l’accroissement démographique se verra confirmer dans les prochaines années, grâce à un parc locatif renforcé.
Embrun cherche à asseoir sa politique sociale afin d’offrir notamment des services de santé de qualité et de proximité. Le CCAS joue ainsi un rôle fort d’écoute et d’information au sein de la population. On trouve également une unité de soins longs séjours Alzheimer, ainsi qu’un hôpital fortement soutenu par la municipalité et qui développe des services de télé-santé.
Parmi les grandes réalisations de ces dernières années on pense également à l’engagement d’une politique forte en faveur des Energies Renouvelables, avec l’espace Delaroche qui accueille le premier réseau de chaleur bois de la ville. La municipalité a en effet décidé de s’engager dans une démarche de valorisation de la filière « bois énergie ». Parallèlement à la création d’une zone d’activité (Pra Long) dédiée aux artisans du bois, une chaufferie bois va prochainement être installée par la commune au niveau de la Maison d’Accueil pour personnes âgées.
(source : http://www.ville-embrun.fr/)
Les Orres
Les Orres constituent une station familiale et sportive, entre 1 650 et 2 720 m d'altitude, avec le label “Kid” et “Les p’tits montagnards”. Elle offre 10 300 lits touristiques, 24 remontées mécaniques (dont 2 télésièges qui fonctionnent aussi en été ainsi qu'une piste de luge "toute saison"), 64 km de pistes de ski alpin et 40 km de pistes de ski de fond. C'est aussi un chef lieu avec une église du XVIe, un Musée du Patrimoine, l'église Notre-Dame de la Présentation au Mélezet avec son cadran solaire original… A ne pas rater, le dernier samedi de juin : la fête de l'Amontagnage.
Les Orres, son histoire...
La vallée des Orres représentait auparavant des réserves de blé considérables pour la ville d'Embrun. Ceci explique notamment pourquoi la commune a pu être la résidence de campagne des évêques d'Embrun et de Gap.
La création de la station des Orres date de novembre 1970 Le jour de l'inauguration du premier remonte-pente fut difficile. En effet, il y eut une grosse chute de neige et la route était difficile. Malgré tout, par -15°C, le cérémonial sera respecté, une bouteille de champagne fut cassée sur les supports de la remontée mécanique
La station des Orres est née et chacun pense que ce mauvais temps ne pouvait être que le présage d'un bel avenir...
Quelques dates clés depuis 1970
- Noël 1970 : Télésiège du Gué (Prébois) - Télésiège Bois long - Téleski Perescuelle 1
- 1971 : Télésiège Fontaines - Téleski Pic Vert - Réception de nouvelles résidences : Mazelière - Silhouraïs - Epervière
- 1972 : Téleski Prévieux - Téleski Portette - Réalisation des 2 premiers courts de tennis - Réception des résidences : Sunny Snow - Horizon - Hôtel La Résidence (actuellement l'Escale Blanche)
- 10 juillet 1973 : Etape du Tour de France cyliste Meribel - Les Orres
- Réception des résidences : Cembros - Carlines - La galerie marchande Les Soldanelles
- 1974 : Télésiège Prélongis - Téleski Boussolenc - Téleski Galopins 1 - Réception des résidences : Orrianes des Neiges - Les Mélèzes - Lou Miarze - Hôtel Les Arolles
- 1975 : Aménagement de la piscine - Réception des résidences : Boussolenc - Le Cabri - Les Ecrins - Perce-Neige - Pérescuelle
- 1976 : Réception des résidences : Orrianes des blés - La Seille - L'Eterlou
- 1977 : Télésiège Pousterle - Téleski Marmottes - Création du Jardin des Neiges - Réception des résidences : Belvédère et Tavaillons
- 1978 : Téleski Riou Sec - Réception des résidences : Orrianes des Sources - Oustal - Pic vert - Hôtel Korn ar c'Hoat (actuellement Les Trappeurs) - La Bulle
- 1979 : Téleski Bambi au jardin des neiges - Réception des résidences : Chalet des Orres - Flocons - Gradins - Roche Blanche - Hôtel Boussolenc (actuellement l'Ancolie) - Homologation internationale homme de la piste de descente de la Pousterle
- 1980 : Réception des résidences : Orrianes des Forêts - Pouzenc
- 1981 : Aménagement de Champ Lacas - Mise en route de la première installation d'enneigement artificiel sur 3 ha - Réception des résidences : Chamoisière - Méale
- 1982 : Télésiège Grand Clos - Tékeski Perescuelle 2 - Téleski Bergerie - Réception des résidences : Aupillon - Cairn
- 1er décembre 1983 : Réception des résidences : Balcon des Orres - Orrianes des Cimes
- 1984 : Mise en service du fil neige au jardin des neiges
- 6 juillet 1986 : 1ère édition de la course de côte automobile internationale Embrun - Les Orres - Saint Sauveur
- 1987 : Télésiège Champ Lacas - Téleski Galopins 2
- 1988 : Réception de : Hôtel VitaHôtel (actuellement Hôtel les Ecrins)
- 17 juillet 1989 : Accueil du Tour de France cycliste féminin
- Noël 1990 : Inauguration du système d'enneigement automatique sur 20 ha
- 13 Juillet 1996 : Inauguration de la luge d'été
- 20 Juillet 1999 : ouverture du Musée rural au chef lieu
- Décembre 1999 : Premier télésiège 6 places débrayable Prélongis
- 2002 : Second télésiège 6 places débrayable Pousterle
- Juillet 2004 : Création du Bike Park
- Décembre 2006 : ouverture de la 1ère résidence de tourisme "Le Bois Méan" Les Orres 1800
- Décembre 2007 : Troisième télésiège 6 places débrayable Fontaines, ouverture des résidences de tourisme aux Orres 1800 : "Les Mélèzes d'Or", "Les Monts du bois d'Or", "Le Parc des Airelles"
- Juillet 2008 : Ouverture officielle de la patinoire, du salon de thé et de l'Espace Rencontre et Culture
- 1er novembre 2008 : Inauguration de la promenade piétonne et de la place centrale de Bois Méan Jean Rippert
- Décembre 2008 : Ouverture de la garderie La farandole et du jardin des neiges de Bois méan Les Orres 1800 ainsi que des résidences de tourisme : "La Combe d'Or", "Le Balcon des Airelles", "Les Terrasses du soleil d'Or"
- 28 Novembre 2009 : ouverture de la Maison de la météo
- 12 Décembre 2009 : ouverture de la nouvelle Piste de Luge "L'Orrian Express"
Les Orres et la région de Serre-Ponçon, des Trésors à découvrir !
- Aux Orres, L'Eglise Sainte Marie Madeleine (XVIe siècle) au Chef Lieu et son clocher lombard, ainsi que son musée où les métiers d'autrefois sont exposés
- Au Hameau du Mélézet, l'église Notre Dame de la Présentation, construite au XIXè sur l'emplacement d'une ancienne chapelle bâtie en 1546. Elle porte sur sa façade sud un cadran solaire de 1853, signé du célèbre cadranier italien Zarbula
Des visites guidées de la découverte du village des Orres, de l'église et du musée sont organisées 1 à 2 fois par semaine durant les vacances scolaires.
Les Orres vous proposent une grande diversité d'activités à partir de 1550m d'altitude autres que la randonnée ou le VTT. Les télésièges vous conduiront jusqu'à 2 530 m d'altitude pour bénéficier d'un panorama exceptionnel sur la vallée de Serre-Ponçon.
Du sportif au ludique, la montagne et la nature vous ouvrent leurs portes, chacun trouvera son bonheur : piscine, tennis, tir à l'arc, VTT, équitation, escalade, via ferrata, jungle aventure, parapente, patinoire, quads, massages, et la grande nouveauté estivale, La LUGE panoramique nommée "L'Orrian Express"...
(source : http://www.lesorres.com/)